Lors de l'article précédent, il a été suggéré que le bien-être économique et le bien-être social d'une communauté ne pouvaient que se voir inter-reliés, et qu'on ne saurait sans doute en trouver une meilleure preuve qu'à travers l'apparente incapacité de notre maire à interagir avec son entourage d'une façon qui s'avère ne serait-ce que moindrement fonctionnelle. Nous en voulions pour preuve la tendance que semble avoir adopté le maire à se retrouver impliqué dans des procédures judiciaires, sinon à provoquer ces dernières, tout en en faisant bien sûr porter le coût aux contribuables.
Un autre phénomène tend à démontrer que le don du maire à se faire des ennemis semble entraîner des coûts on ne peut plus réels pour l'ensemble de la communauté : le fait que de plus en plus de gens ayant à travailler avec le maire semblent tôt ou tard en venir à la conclusion qu'il vaudrait mieux pour eux de tout simplement quitter leur poste, quand ceux-ci ne se voient pas tout simplement mis à la porte. Dans la mesure où certains de ces départs s'apparentent donc à des licenciements, on pourrait en venir à croire que « tout le monde autour du maire a tort » ou « est incompétent », et donc que « seul le maire peut avoir raison », ce qui d'ailleurs pourrait aisément être mis en relation avec d'autres tendances du maire que l'on a pu remarquer à travers le présent blogue, comme celles de se croire apparemment « infaillible » ou « meilleur qu'un autre », quand celui-ci ne semble pas tout simplement rechercher des « boucs émissaires » afin de leur faire porter le poids de ses propres erreurs.
Mais dans la mesure où de tels départs peuvent s'avérer volontaires, on ne peut donc que s'inquiéter du fait que le maire, de par son attitude peu invitante, fait donc perdre à la communauté anjeannoise ses propres ressources humaines, dont plusieurs semblent pourtant figurer parmi ses meilleurs éléments. Peut-être le maire Boucher est-il tout simplement incapable de réaliser qu'un tel exode représente un coût, et plus précisément une perte nette pour les contribuables. Mais depuis quand se soucie-t-il vraiment de tout ce qu'il peut faire payer à la population, de toute façon ?...
Sous le règne de Claude Boucher:
RépondreSupprimer- 3 dg à la municipalité.
- 4 dg(ou dir. administratif) au Mont-Édouard.
- 4 directeurs de montagne au Mont-Édouard.
- 3 responsables à la Petite École.
- 1 inspectrice municipale qui a quitté précipitamment.
- 2 promoteurs au développement domiciliaires des terrains de la montagne (Au pied d'Édouard et Usinex).
- des dizaines d'administrateurs sur les différents comités.